d'auteur)
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Les formations de nos école passées à la louvière
S’instruire dans une des quinzes d’écoles de la Louvière école uniquement de la louvière d’autre école ce son ouvert dans d’autre village aux a l’entour. La construction de la première école fut ouverte en 1849 a la Louvière qui était toujours un simple hameau de Saint-Vaast (1849 -1869) mais la première école du centre elle fait partir du plan d’agrandissement de la Louvière et c’est sur la place Maugrétout que fut bâtie en 1870 emplacement actuelle , d’autre école fut crée comme en 1888 l’école industrielle moyenne de l’état et 1907 l’école industrielle supérieure et en 1948 fut reprise par la province et dans les locaux de l’institut provincial des arts et métiers ,puis l’école ménager ouverte en 1922 (le home communal de la jeune fille et de la femme ) ,l’école normale technique communal pour jeunes filles ouverte en 1925 ,le conservatoire de musique en 1887 au première étage d’un café place maugrétout (le café juramie) ,l’enseignement de l’état école moyenne de l’état pour garçons fut crée en 1882 et en 1929 on peut dire que les programmes des écoles moyennes,tel qu’il existent actuellement constituent un ensemble prestigieux ,qui fait honneur à l’enseigement belge et aux autorité eclairée qui le dirgent , en 1881 lycée royal de l’état , l’enseignement provincial institut provincial des arts et métier 1912 à 1923 ;l’enseignement du jour école technique et professionnelle du jour métier du fer ,athénée provincial du centre ,école industrielle supérieure ,enseignement libre école primaire (rue milcamps ),institut Saint-Joseph fondé 1877,institut des religieuses de la croix bâti en 1882 rue ferrer ,institut des filles de marie situé rue de bouvy ….Ce qui manque dans école d’aujourd’hui c’est un enseignement comme dans le passée apprendre aux jeunes filles a cuisinée et être indépendante ?? Cette photo son les diplômes de l’époque de mon arrière grand père, de mon père et de la maman de mon épouse un 1927 ,1921 et 1927 & 1934. cela vue bien dire qu’avent on allez par plaisir d’apprendre (maintenant pour les allocation familiales ???) L’Art 24 et 127 de la constitution Cette période débute avec l’année scolaire qui prend cours durant l’année où il atteint ses six ans. Elle se termine à la fin de l’année scolaire s’impose aux mineurs le 19 janvier 1990 ayant fixé la majorité à 18 ans . (Comme aussi en France et en Belgique c’est l’enseignement qui est obligatoire et nom l’école ?)
Les écoles d’enseignement louvièrois dans les années passées Ne pas oublier que la louvière dans cet année là était un simple Hameau de st vaast *Une L’école primaire et gardienne fut ouvert en 1849 ‘a la rue du Curé (rue des amours ) *L’école du centre en 1870place maugrétout *Ecole de baume en 1876 *Ecole de la croyère en 1880 *Ecole de bouvy mitant des camps en 1895 *Ecole de la basse Louvière en 1905 *Ecole de bois de st vaast en 1908 *Ecole du Hocquet av demaret école de la cité rien Astrid Toutes on été aménager et modernisées au cours de année Pour évite les déplacement long une école gardiennes fut créées rue de belle –vue et rue du marché *Une école industrielle moyenne en 1888 et vue le succès grandissant a nécessite un développement en 1907 puis en 1948 devient une école industrielle supérieure *Une école de ménagère ouverte en 1922 rue de belle-vue *Ecole normale technique communale pour filles en 1925 *Un conservatoire de musique en 1887 a l’étage d’un café place Maugrétout *Une plaine de jeux en 1922 sur l’ancien emplacement charbonnage de bouvy *Ecole d »enseignement de l’état école moyenne de l’état pour garçons en 1882 Et s’installe définitivement Rue joseph toisoul 1885 *Le lycée royal de l’état en 1881 et d’un pensionnat cerac annexé 1928 ( dans l’ancien château de Amand Mairaux ) *Un enseignement provincial institut provincial des arts et métiers en 1912 (rue Charles Nicaise ) mais vue l’importance en 1923 vient a l’emplacements actuel Et comprenaient en + une école du jour école technique et professionnelle du jour métiers du fer et aussi un enseignement du soir ainsi que de nombreux au enseignement Une athénée provincial du centre en 1925 Un enseignement libre en (rue e.milcamps, rue faignart, place de l’église de bouvy filles et garçons) *L’institut saint –joseph en 1877 école industrielle et commercial ‘ en 1901 il u un incendie importent l’aile droite du bâtiment fut complètement détruite Un institut des religieuses de la croix (puis les religieuses des notre-dame de le croix) rue ferrer (rue Achille chevée actuel) en 2007s’est embrasé rapidement ? Qui a détruit complètement le bâtiment incendie criminelle ? plus de 125ans sans aucun défaut et en 2007 plus rien les louvièrois se poussent beaucoup de question . ! Et dans les année L’institut des filles de marie en 1767 fondée par l’abbé nicola-joseph baudy rue de bouvy En 1930 la congrégation des Filles de Marie compte 146 maisons et 668 religieuses. Leur nombre a fort diminué. En 1970, elles sont 353 religieuses, en 58 communautés. Maintenant de s’est école certaine on disparue !
les diplôme de différence école École industrielle moyenne de la Louvière Institut filles de marie a Houdeng aimeries 1 diplôme Raoul Vray (mon papa) et les 2 autre de la maman de ma future épouse
En 1879, les services télégraphiques belges installèrent une ligne téléphonique au parlement et, la même année, divers entrepreneurs privés déposèrent des demandes d’exploitation de réseaux téléphoniques dans différentes villes belges. L’absence d’une législation dans les premières années d’exploitation minimisa les chances de succès du développement du réseau téléphonique. Cette absence força les autorités belges à mettre au point un cadre législatif réglementant l’exploitation de la téléphonie en Belgique. À partir de 1896, le secteur entier de la téléphonie passa entre les mains d’une société publique. En 1913, une grande partie de la Belgique était accessible par téléphone. Le nombre d’abonnés restait limité, mais la plupart des gares, bureaux de poste et de télégraphe étaient équipés de cabines téléphoniques publiques. La régie des télégraphes et téléphone , la Louvière Après avoir été abrités longtemps dans la gare de la Louvière 1896 dans des conditions innommables des locaux vétustes, la régie trouva enfin rue de la concorde des locaux digne de son importance cet en 1897 que fut inauguré la première ligne téléphonique a double fil en bronze entre la Louvière et Bruxelles Et 1900 la première cabine téléphonique remarque les numéros se composée de deux à quatre chiffre exp. pour les usine boêl en 1928 avais les numéro 1133,1134et 113la faïencerie le 56 en 1916 et la franco belge en 1911 le 44 et 1229 maintenant on va de 9 à 12 chiffres
La RTT – Radio - Télégraphiques- téléphonique
La loi du 21 mars 1991 transforma la Régie en une "entreprise publique autonome", baptisée Belgacom. La situation de monopole absolu qu'avait toujours détenu la Régie dans le domaine des équipements et services en matière de télécommunications était désormais modifiée. Belgacom obtint une concession exclusive pour les télécommunications publiques: l'infrastructure publique telle que les centraux, les câbles, les réseaux...; les services télégraphique, téléphonique et télex; les installations de télécommunications se trouvant sur le domaine public et accessibles au public, telles que les cabines téléphoniques. L'accomplissement de cette concession exclusive conjointement avec l'exécution de quelques autres tâches, définies dans un contrat de gestion, constituaient les "missions de service public" dont Belgacom était chargée. La réforme ne concernait pas seulement la Régie des T.T., mais aussi la Régie des Postes, la Régie des Voies aériennes et la Société nationale des Chemins de Fer belges. aspects du monde des télécommunications étaient en train de prendre une importance croissante. La Communauté européenne n'était certainement pas étrangère à leur apparition. Tout d'abord, les fonctions de réglementation et de surveillance que la Régie des T.T. avait toujours accomplies ne furent pas transférées à Belgacom; elles furent exercées désormais sous le pouvoir de décision du Ministre des P.T.T. par un organisme séparé, à savoir l'Institut belge des services postaux et des télécommunications (l'I.B.P.T.). D'autre part, toutes les activités de télécommunications qui ne faisaient pas partie de la concession exclusive pouvaient dorénavant être exercées par chacun en concurrence. Par conséquent, Belgacom devrait faire face à ses concurrents, non seulement pour garder sa position sur le marché existant, mais également afin de s'installer sur le marché lorsque se présenteraient de nouvelles activités. En résumé, du monopole absolu de la Régie, une partie était mise en libre concurrence, tandis qu'une autre restait monopolistique, mais partagée entre Belgacom (la concession exclusive) et l'I.B.P.T. (la réglementation et la surveillance

Ma grand mère (sur la photo) était téléphoniste

a mes aussi un parent dans la radio (1900)

?Haine st pierre puis tout fut transféré a la

Louvière et ma belle mère était cuisinière au

messe de la RTT a la Louvière .