d'auteur)
vray-maville.be
LES BRASSERIES
LA FERME DE LA RUE JEANNE HAYE. Le registre de recensement de 1820 nous signale que c’est la famille d’Augustin Thiriar ( 36 ans ) qui occupe la ferme de la rue Jeanne Haye. Le recensement de 1830 nous signale la même famille occupant la ferme, mais reprise au lieu dit « Pelin », nom qui nous apparaît pour la première fois et dont nous ne pouvons expliquer l’origine. Au décès d’Augustin Thiriar, c’est Eugène Delattre (né le 13 février 1833), qui par son mariage avec Constance (fille d’Augustin), reprend la direction de la ferme. Tous les successeurs d’Eugène Delattre ayant également le prénom d’Eugène, nous vous donnons ci-dessous, dans l’ordre chronologique, les changements dans la direction de la ferme. 1- Eugène Delattre, né le 13 février 1833, décédé en juin 1872, époux de Constance Thiriar 2- Eugène Delattre (fils du n° 1) né le 22 septembre 1857, décédé le 24 novembre 1922, époux d’Augusta Meulenberg. 3- Eugène Delattre (fils du n° 2), né le 23 septembre 1900, marié à Simone Dutrieux. Le 15 août 1927, toute la famille quitte la ferme de la rue Jeanne Haye pour remplacer la famille Vray, rue Ballasse n° 28 à la ferme et brasserie du Pont Ballasse. Le 26 septembre 1927 la ferme est reprise par la famille Oscar Debilde, né le 17 jan- vier 1880, venant de Saint-Pierre-Capelle, son épouse Maria Dasseleer et ses deux enfants Edouard et Lucienne. Cette ferme est maintenant transformée en habitations modernes. Le corps de logis est complètement transformé en habitation, les étables également et la grange a été complètement démoli. BRASSERIE DU PONT BALASSE. Situation: rue Balasse (ferme), Houdeng-Aimeries Propriétaire: Désiré Vray. La plus ancienne lettre connue de cette brasserie date de 1892. En 1908, au décès de Désiré Vray (1845-1908), la brasserie est dirigée par son fils Victor (1874- 1928).
Certain brasseries on le non de ma familles (en rouge) mais reste a vérifier Dans ma Généalogies et au service des Archives de l'État en Belgique à Mons mais cella prend énormément de temps les anciennes brasseries de l'entité louviéroise. sont aujourd'hui toutes fermées Je trouve pour le moment ceci: LA LOUVIERE / BRISME "LA LOUVE" / closed 1921 LA LOUVIERE / LIENAUX / closed 1921 LA LOUVIERE / GHEENS " BRASSERIE DU CENTRE " / closed 1930 LA LOUVIERE / DE MAUGRETOUT / closed 1937 LA LOUVIERE / PLANQUART " BRASSERIE LOUVIEROISE " / closed 1954 LA LOUVIERE / HUBERT " DE LA SIRENE " / closed 1964 Désiré vray HOUDENG-AIMERIES / PUTSAGE / closed 1938 HOUDENG-AIMERIES / DU CENTRE / closed 1944 HOUDENG-GOEGNIES / LE BON GRAIN / closed 1925 HOUDENG-GOEGNIES / BERTAUX "DU CENTRE" / closed 1940 HOUDENG-GOEGNIES / LECRINIER / closed 1940 HOUDENG-GOEGNIES / DEQUENNE-RONNEAU / closed 1944 HAINE-SAINT-PAUL / CAFFET-BROUWET / closed 1938 HAINE-SAINT-PAUL / AU PROGRES / closed 1978 STREPY-BRACQUEGNIES / WATERLOT-VRAY (BRASSERIE WATERLOO) /1899 closed
Les Brasseries dans le centre l’origine de la bière se perd dans la plus haute antiquité elle parait avoir été déjà une boisson favorite aux temps pharaonique et l’on peut voir au musée du Caire,une statue d’un maître - brasseur égyptien du nom de Nofer et qui vécut il y a cinq mille ans environ .d’ailleurs dans les somptueuses sépulture de la vallée des rois on a retrouvé des cruches ayant contenu de la bière .les gaulois n’en ignoraient pas l’existence et l’appelaient < cervoise > son usage s’est aussi implanté à une époque reculée dans des régions qui paraissaient fermées à l »infiltration européenne et dont l’antique civilisation est comme momifiée :c’est ainsi que d’audacieux voyageurs dont W.Montgomery McGovern lors de son voyage secret à la cité de Lhassa dans la terre du Boudha vivant en ont constaté l’emploi en chine et au Thibet au elle est connue sous le monde <Tchang >(bière d’orge) .au XIII siècle on relève l’existence des premiers corporations de brasseurs groupée sous le patronage de st-Arnould leur développement fut constant et leur multiplication rapide au XVII siècle chez nous la bière tait devenue d’usage courant et d’importantes brasseries se fondèrent qui pour la plupart existent encore mais sa fabrication scientifique ne date que des découvertes de Pasteur 1856 et de l’emploi du froid artificiel :des 1873 les idées de Pasteur longtemps combattues triomphèrent définitivement et depuis lors l’industrie brassicole s’engagea dans la voie du progrès.au seuil du centenaire de notre indépendance nationale ,il n’est pas inutile de s’arrêter quelque instant a considérer cet aspect de notre activité national ;la brasserie Belge a fabriqué en 1929 environ 16 millions d’hectolitres debière a 3°5 ce qui représente un chiffre de vente de prés de deux milliards .elle a acheté a la culture plus de deux cent millions de kilos d’orge :elle a payé approximativement 250millions de droits d’accises :si l’on y ajoute la perception en 1929des taxes d’ouverture sur les débits de boissons se chiffrant à 22.742.666fr,82les taxes spéciales de consommation sur les boissons fermentées évaluées à fr152.943.670.76 ; l’on constate que cette industrie rapporte annuellement plus de 400millions de francs au trésor (cela en 2017 na pas beaucoup changer que du contraire !)dans cette somme ne figurent ni les contributions ni les taxes de nature diverses dont sont grevés les immeubles servant aux même fins commercial au dépendant ni encore les taxes sur les automobiles de transport des produits vendus .les fabrication de la bière est donc une industrie importante :elle répartit ses usine dans toutes les régions du pays les deux Flandres en en comptent 615 ;le Hainaut 295 ,le brabant 221,Anvers 165. notre région du centre possède 51 brasseries en activité soit 3% de la totalité du pays presque autant que la province de Namur avec70,celle de liége avec55 et plus que le Limbourg qui n’en compte que 45 et le Luxembourg 30.la fin de la guerre fut le signald(une vraie révolution dans l’industrie brassicole .des 3309 brasseries existant en Belgique avant 1914 il n’en resta plus que 1496,ce qui constitue une diminution totale de 52.7% au regard du chiffre ci-dessus cité cette diminution est due à plusieurs cause .la première fut ladémolition systématique pendant la guerre de nombreuses brasseries par l’occupant allemand :plusieurs ne se relevèrent plus de leurs ruines :d’autre ne se reconstituèrent qu’en partie ;certaines entraînées dans le mouvement de centralisations industrielle fusionnèrentla deuxième réside dans la période d’instabilité et de dépréciation monétaire que nous avons vécue après la guerre :par suite des housses diverses qui en furent la conséquence fatale beaucoup de brasseries ne réalisaient qu’un bénéfice modique en disproportion avec celui d’avant guerre le prix de vente des bière ayant été retardataire sur l’ensemble :actuellement encore,la réadaptation n’est point accomplie :enfin obéissant aux lois de l’ambiance les grosse usine de production paraissent avoir profité davantage de la fabrication d’après guerre,grâce à la concentration formidable des capitaux et à leur faculté d’absorption et extension .dans notre région du centre la brasserie est prospère :le nombre d’exploitant cite plus haut en témoigne éloquemment ;parmi les plus anciennes on signale les brasseries de Buvrinnes et houdeng-aimerie voire photo s ( parenté avec moi Vray ) une seule pourtant sise à fayt-les-seneffe fabrique des bières à fermentation basse,parmi les autre de fermentation haute,beaucoup ont modernisé leurs installations ;aujourd’hui nous constatons avec quelque fierté que le Centre est à même de fabriquer toutes les bière réclamées par le consommateur :même certaine spécialisées du terroir sont réussies et goûtées réveillons l’ombre endormie du bon poète montois, Antoine clesse songeons que depuis le temps ou il chantait son refrain fameux nos brasseurs ont atteint dans leurs produits un degré de perfectionnement qu’il soupçonna à peine et écoutons les échos de Wallonie décuplant leur voix redire a pleins verres nos bon amis buvons la bière du pays BRASSERIE DU PONT BALASSE.Situation: rue Balasse (ferme), Houdeng-AimeriesPropriétaire: Désiré Vray. La plus ancienne lettre connue de cette brasserie date de 1892. En 1908, au décès de Désiré Vray (1845- 1908), la brasserie est dirigée par son fils Victor (1874-1928). Cette brasserie a cessé ses activités en 1921. Maintenant il y a beaucoup de petite brasserie artisanal qui s’installe mais il ne son capable de tenir longtemps et remettre leur brasserie a des industrielle plus importes temps cella nais plus de l’artisanat mais du profit ?? info:le café de mais arrière grand parent le café de la monnai en 1905 a changer de non a plusieur reprice le derrniere Gabillia & vray jusque en 1969 après de grand changement divers (photo jointe) cette année 2017 une nouvelle brasseries < luperia 1157>va ouvrier sur même emplacementLa Louvière tient son non d’une ferme de l’ancien village de Saint-Vaast d’après le Cartulaire d’Alne les formes anciennes de la Louvière veine ,Luparia 1157 ,Lovaria 1168 Menaulu 1175, Meneilut 1217, Lovière 1284 ,le Lovière 1291 et Cette brasserie la remis comme enseigne< luperaia 1157> en espérant une longévité du a son non
la société Boël Frères et Soeur. Parmi ces cafés, «Les Brasseries Mansart» («Le Mansart» jusqu'à sa faillite en 2007), situé au centre-ville de La Louvière, au coin la rue Sylvain Guyaux et, bien sûr, de la place Jules Mansart. Il existait déjà au milieu du 19e siècle, à une époque où La Louvière dépendait encore de la commune de Saint-Vaast (alors que depuis la fusion des communes, Saint-Vaast a été intégré dans La Louvière). A l'époque, c’est à l'étage de ce café, dénommé alors « Café Thirion » (de 1855 à 1869), que se tenaient les séances du conseil communal de Saint-Vaast. On peut voir aussi sur quelque photo en 1 Une vue de l’intérieur de l’hôtel - restaurant le liégeois Rue sylvain guyaux la louviere en 2 le restaurant l’industrie (friture-rotisserie) +2a l’ intérieur
Âpres avoir travailler comme contremaître a la faïencerie boch-keramis 1876-1924 augustin vray et Lydie Monoyer de 1924-1930 puis la photo dans la rue du commerce le magasin(chaussure)de Victor.Gabillia un des frères augustin Gabillia lui à marie ma grande tante Léona vray qui on tenue le café (1930-1948 sur le coin de la rue S. Guyaux 26 et rue du commerce (actuelle rue Albert 1er) par après Hector vray et Clotilde Cognie jusqu’en 1969 Au le commerce fut remis a des Bruxellois ..D’autres magasins se succéda pour en 2017 on réouvre un café sous le non de Luperia1157 … mes dejat férmé en avril 2023?
Étymologie Vray : Parfois écrit Vrai, le nom est surtout porté dans le Puy-de-Dôme. On peut envisager un lien avec l'adjectif "vrai" (ancien occitan "verai"), mais le sens du surnom n'est pas clair. Peut-être plutôt un ancien nom de personne (le nom de personne latin Verus a existé). À noter qu'un hameau s'appelle le Moulin du Vray à Saint-Bonnet-le-Courreau (42), c'est une autre piste possible."
Intérieur et sa façade du liégeois
Intérieur et sa façade du restaurant l’industrie .
façade de la brasseries le mansart
Un dimanche matin a intérieure du café de mes grands parent (Gabillia & vray)